Politique de droite

Maxime Thiébaut et Eric Nevers avec Nicolas Dupont-Aignan au Salon de l'agriculture

Maxime Thiébaut et Eric Nevers avec Nicolas Dupont-Aignan au Salon de l'agriculture

Communiqué de presse

Maxime Thiébaut, représentant de Debout la France en Bourgogne-Franche-Comté, et Eric Nevers, maire d'Artaix en Saône-et-Loire, ont accompagné Nicolas Dupont-Aignan au Salon de l'agriculture ce jeudi 2 mars. Ils sont venus soutenir un secteur abandonné par les pouvoirs publics et dévoiler un plan pour sauver l’agriculture française, le savoir-faire des cultivateurs, la richesse de nos paysages et l’avenir de notre tissu rural.

Le candidat à l'élection présidentielle a insisté sur le fait que nous devions "retrouver notre influence au niveau européen et mondial". Pour ce faire, il souhaite "instaurer une exception agricole à l’OMC et dans tous les accords commerciaux sur le modèle de l’exception culturelle". Lui qui refuse les traités transatlantiques (CETA et TAFTA) exige "l'étiquetage obligatoire du pays d'origine sur les produits" et que la PAC retrouve ses trois volets : préférence communautaire, prix garantis et quotas.

Eric Nevers soutient "une production de qualité" qui privilégie les circuits courts. Ce maire d'une commune du Charolais veut que les "collectivités publiques telles que les cantines scolaires se fournissent chez les producteurs locaux".

"Scandalisé" par le nombre d'agriculteurs qui se suicide chaque année car les pouvoirs publics les ont "oubliés", Maxime Thiébaut rappelle que le programme de "NDA" prévoit d'affecter "un budget supplémentaire de 2 milliards d'euros par an sur l'ensemble du mandat". "Cela permettra de soutenir l'installation des jeunes agriculteurs", explique Maxime Thiébaut. Nicolas Dupont-Aignan ajoute que nous pourrons ainsi "restructurer la dette des agriculteurs surendettés en créant un fonds par lequel l'Etat serait prêteur".

Le Député souhaite enfin "simplifier la vie de nos agriculteurs et alléger leurs charges", en mettant fin notamment à "l'accumulation des normes et des réglementations écologiques toujours plus absurdes".