Saint-Marcel

Un maire qui sait "conduire" sa commune

Un maire qui sait "conduire" sa commune

Ce samedi matin, la municipalité de Saint Marcel a invité Sébastien Martin, président du Grand Chalon, pour une visite des locaux de la commune.

C'est dans un bus conduit par le maire, Raymond Burdin, accompagné par les adjoints Serge Gonthey, Karine Plissonnier, Nathalie Gras, Nathalie Couturier, Sylvie Rollet, Eric Bonnot, Jean François Kicinski et des conseillers municipaux Fabien Le Petit, Chantal Lambert, Chantal Flamand, de Paul Galland, DGS, et Stéphanie Pelletier, directrice de cabinet de Sébastien Martin, que le Président du Grand Chalon a pu voir les idées s'appliquer sur le terrain.

 

Une visite rondement menée pour un homme simple qui opte pour des choix simples et sans ambiguité.

Énergétiquement, il répond aux principes cabalistiques de la vie qui consistent à « lutter pour une même cause ». Celle qui relie les hommes solidairement, quelles que soient leurs opinions, pour résoudre les problème actuels.

Pour lui, Saint Marcel est l'exemple même de cette solidarité, réunissant les maires de ses paroisses dans le seul but d'organiser et maintenir une mise en place active des services publics afin de mieux répondre aux besoins.

 

Dans l'esprit d'un même équilibre de vie, Sébastien Martin, a remercié et apprécié Raymond Burdin qui « sait conduire sa commune » tout en expliquant le but de ses visites lors de la réunion qui a eu lieu vers 10 h 30 dans une salle de la mairie où de nombreux conseillers municipaux avaient rejoint le groupe.

 

Faisant un retour rapide sur un passé récent, il confie sa volonté de poursuivre le projet qui maintien des liens de confiance, permet de s'exprimer clairement et de ressentir la situation dans sa totalité.

D'après lui, ces rencontres de partage sont des « relais indispensables » entre les communes pour avancer.

Surtout que Saint Marcel offre une culture intercommunalité importante et que la valorisation de cet échange reste essentiel.

 

Pour finir, Sébastien Martin avoue qu'il ne croit pas aux « solutions venues d'en haut ». Pour lui, c'est ici et maintenant que les hommes doivent organiser un réseau de partenariat actif et créer des outils utiles pour avancer. Il cite « une solidarité bien vécue et partagée ».

 

E.T