Le bonheur à la Portée de tous

Pour son gala annuel, Musique et Expressions et ses trois ateliers actifs, ont su transporter le public des premiers pas de danse au son des guitares, en passant par les Variantes chantées en choeur.

Pour ceux qui suivent l’association Musique et Expressions depuis les années de sa reconstruction,  il est certain que l’on ne peut que constater un travail en profondeur important. Il suffit pour cela de voir les premiers pas de danse des petites que dirigent Michelle Perraguin, suivis des différents niveaux composant cet atelier de danse Moderne et se rendre compte du fait : le bon travail est payant jusqu’aux plus grandes, les Miss. C’est tout le mérite de la professeur et la volonté de bien faire des élèves, même si parfois on perd le fil le jour du gala, que l’on pleure et l’on se retrouve avec un gros bisou de ses compagnons danseurs comme réconfort.

De même pour l’atelier Guitare placé sous l’impulsion de Christian Maréchal. On découvre également des nouveautés et en finalité on en redemande, tant on se rend compte aussi de l’avancement dans le geste, le style et la manière. La guitare reste un instrument qui transporte depuis le classique jusqu’au rock en passant par la variété. Une soirée de choix en la matière ou même est venu s’immiscer un saxophone dans un sublime « Dear old Stockolm » écrit par Miles Davis. Un vrai plaisir qui s’est ajouté au reste.

Quant au choeur Variantes, une fois de plus rien à redire sur les interprétations d’un programme déjà bien connu pour certaines chansons et d’autres nouvelles venues s’inscrire au répertoire déjà bien copieux de cette chorale dirigée par Thierry Potrat, accompagnée au piano par Dominique Chaffangeon. Une sympathique virée en toute liberté dans l’univers de la chanson française.

Une soirée ou l’on a pu noter la présence de Marie Mercier, maire de Châtenoy-le-Royal accompagnée de son adjoint Fabrice Rignon et du Conseiller départemental Vincent Bergeret, tous salués par le président Michel Potrat pour lancer ce gala annuel au titre bien choisi « En portée pour le plaisir ». Ce fut vrai !

JC Reynaud