Saint-Marcel

Grande soirée de "la couée d'la glaudine" (atelier patois du centre socio-culturel de Saint Marcel)

Grande soirée de "la couée d'la glaudine" (atelier patois du centre socio-culturel de Saint Marcel)

En octobre 2014, le Centre Socio-Culturel de Saint-Marcel a ouvert un atelier de patois bressan animé par le journaliste-écrivain Michel Limoges, le « pcho commis d'la Glaudine ». Après une première année de fonctionnement, les membres de l'atelier ont décidé en octobre 2015 de s'appeler « La Couée d'la Glaudine ». Pendant cette année 2015-2016,  environ vingt-cinq « étudiants » se sont retrouvés deux mercredis par mois pour parler du vocabulaire et de la grammaire de ce patois qui était, et est encore un peu en usage du côté de Saint-Marcel bien sûr, mais aussi de Saint-Germain (du-Bois et du-Plain), de Saint-Martin, de Pierre ou de Verdun…

 

Ces réunions bimensuelles sont aussi l'occasion pour les uns ou les autres de raconter des histoires (souvent drôles, parfois émouvantes) et même de chanter. Tout cela en patois bressan, bien entendu !

 

Ce vendredi 24 juin, à 19 heures, à la Salle Gressard de Saint-Marcel (au croisement de la Rue Léon Pernot et de la Rue du 11 novembre 1918 ; à proximité de la Bibliothèque municipale), l'atelier patois organise une grande soirée récréative entièrement en patois (ou presque).

 

Au programme, il y aura des chansons (« Les paysans », « La Chanson d'la Glaudine », « Les Gaudes » (vieille chanson bressane)...) et des histoires racontées par les membres de « la Couée ».  Des patoisants provenant de Sornay (« Mémoire de Sornay »), de Varennes-le-Grand ou de Marnay (« Atelier patois du Sud Chalonnais »), de Saint-Germain-du-Bois ou d'ailleurs vont aussi intervenir lors de cette soirée. La nouveauté en 2016, ce seront des sketchs ne manquant pas d'humour qui vous seront proposés : le rire sera donc au rendez-vous !

 

Venez donc sans hésitation vendredi 24 juin, à 19 heures, Salle Gressard à Saint-Marcel ! L'entrée est libre et gratuite ! Mais comme dit la Glaudine, « si vous vou-yez pas vous r'trouver d'bout dans l'fand, apeu en pu, vous faire r'marquer en entrant, arrivez pas quand y'est crampé ! »