Chalon sur Saône

Une vingtaine de chalonnais identifiés par la cellule de radicalisation à Chalon sur Saône

En marge d'une conférence de presse portant sur le Contrat Local de sécurité et de prévention de la délinquance, Gilles Platret a souligné que depuis la mise en place de l'une des premières cellule de radicalisation, à savoir celle de Chalon sur Saône, ce sont une vingtaine de cas qui ont été signalés. Sur cette vingtaine, une dizaine de cas ont nécessité une vigilance accrue par les services de l'Etat et "un a été pris en charge par DGSI", la Direction Générale de la Sécurité Intérieure. Une fois par mois, c'est une réunion à huis clos organisée dans le bureau du maire, qui permet de faire remonter les informations à partir "des signaux collectés sur le terrain". Une réunion à huis clos à laquelle assistent uniquement les représentants des forces de police, le renseignement territorial, la préfecture, le maire, le premier adjoint ou encore le Directeur Général des Services. 

Laurent Guillaumé