Saône et Loire

Des festivaliers ont posé pour la postérité de bon gré aux Nuits Bressanes

Des festivaliers ont posé pour la postérité de bon gré aux Nuits Bressanes

Ce dimanche 10 juillet 2022 a signé sans sourciller l’arrêt de mort de l’édition 2022 des Nuits Bressanes, au terme de trois années de bannissement causées par la covid. Vivement à présent celle de 2023 ! En attendant, retour sur des visiteurs qui sont venus chercher ce qu’ils escomptaient y trouver.

Des festivaliers sympas, plutôt bienveillants et heureux de partager !

Hélas, trois fois hélas, le rideau est tombé sur le coup de 1h ce lundi 11. Pleurez à chaudes larmes dans les chaumières ce qui s’apparentait notamment au dernier salon où l’on cause pour ce qui a trait aux sympathisants, mais pas que ! Cette partie de campagne bien davantage qu’aimable aura accueilli une grand-messe du spectacle vivant aux allures de pré carré, toutefois réservé au plus grand nombre. Les étoiles n’étaient pas uniquement dans le ciel, mais sur les planches pour qu’après coup le maximum de satisfecit soient décernés par la vox populi. Les atomes crochus ont forcément fleuri, surtout qu’il y avait pléthore afin de parachever en beauté le bel ordonnancement, avec une triple prestation magique : Zaz, Ibrahim Maalouf  flanqué de la formation Haïdouti Orkestar, et enfin Michel Jonasz. Attention, une vedette pouvait en cacher une autre ! Les anonymes ont, entre les séquences de show, entretenu l’essence d’un festival qui tient la route : la convivialité et l’altérité. Les parfois larges sourires affichés, immortalisés au débotté, ne pactisent nullement avec une quelconque obligation. Nous leur en savons gré.

 

                                                                                                         Michel Poiriault

                                                                                                         [email protected]