Opinion de droite

"Marie-Guite Dufay maltraite le pouvoir d’achat des Bourguignons et des Francs-Comtois" pour les élus régionaux du Rassemblement National

"Marie-Guite Dufay maltraite le pouvoir d’achat des Bourguignons et des Francs-Comtois" pour les élus régionaux du Rassemblement National

Communiqué de presse

 

Réunis en Assemblée plénière mercredi 7 février, les élus de la majorité socialo-écolo-communiste ont présenté un budget sans pitié  pour les Bourguignons et les Francs-Comtois. Marie-Guite Dufay a dégainé une par une ses mesures de matraquage fiscal : augmentation des prix des cantines, hausse des prix du TER de 4% et envolée du coût des cartes grises de 8%.

Tout en amplifiant la grave crise du pouvoir d’achat, la présidente de Région assume « d’accueillir toute la misère du monde », en finançant à tour de bras des formations pour les migrants à hauteur de 6 millions d’euros par an et en dilapidant l’argent des contribuables dans des fumeux et coûteux projets de solidarité internationale. 

Un énième mensonge de la majorité a refait surface : Marie-Guite Dufay promettait en 2015 d’instaurer 50% de produits régionaux dans les cantines des lycées. Aujourd’hui, Marie-Guite assume avoir échoué avec à peine 30% de produits locaux dans les assiettes de nos lycéens. Quel fiasco pour une région agricole d’excellence comme la Bourgogne Franche-Comté ! Les agriculteurs apprécieront l’extrême passivité et l’absence de volontarisme de la gauche régionale qui n’a rien fait depuis son arrivée aux manettes. 

Le groupe Rassemblement National a porté des amendements d’importance pour améliorer la situation économique et sociale des habitants : un fonds souverain agricole de 12 millions d’euros, l’élargissement du chèque énergie aux agriculteurs, le salariat des médecins dans les territoires désertifiés, la redistribution des subventions régionales à la ruralité. 

En rejetant tous les amendements du RN, la majorité de gauche a délibérément fait le choix de ne pas chercher les économies et a préféré continuer sa politique de prédilection : taper au portefeuille les Bourguignons et les Francs-Comtois !