Châtenoy le Royal

18 juin : 84 ans après l’appel du Général de Gaulle reste d’actualité !

18 juin : 84 ans après l’appel du Général de Gaulle reste d’actualité !

L’Appel du Général de Gaulle, le 18 juin 1940, se doit de rester dans l’Histoire de notre Pays, un fait historique traversant le temps et incitant à l’esprit patriotique.

Ce n’est pas sans raison que la Fondation de la France Libre a obtenu par décret du 10 mars 2006 de célébrer une journée, non chômée, du Souvenir de l’Appel du 18 juin 1940. Notre pays est en guerre depuis septembre 1939, envahi par les troupes nazis du 3e Reich. Il a fallu la foi d’un homme pour motiver l’esprit de reconquête des Français, afin de reconquérir cette Liberté perdue.

Le Général de Gaulle a su redonner force et vigueur à ce peuple vaincu, avec des mots justes afin de faire renaître le Phénix de ses cendres. Un texte fort par son contenu 84 ans après et dans le contexte politique actuel.

Tout est ainsi dit et quoi de plus vivifiant pour chacun de faire ressortir l’esprit patriotique, la foi dans et en son pays et en ses hommes et femmes. C’est ce que le Général de Gaulle a voulu dans son message permettant à ce peuple meurtri de s’organiser pour retrouver sa Liberté, cinq ans plus tard un certain 8 mai 1945, pour l’Histoire.

Mais que de moments cruels, sanglants, barbares et inhumains il a fallu traverser au cours de cette guerre. Une telle cérémonie du Souvenir est nécessaire pour respecter la mémoire, de celui qui a prononcé cet Appel, mais aussi pour la mémoire de tous ceux qui sont morts en résistant afin de permettre de retrouver cette liberté au sein de notre pays, la France.

Il a donc appartenu à Vincent Bergeret, maire de Châtenoy-le-Royal, de présider à cette commémoration, de lire le message de Patricia Miralles, Secrétaire d’Etat chargée des Anciens Combattants. Il était entouré de Daniel Courtitarat au nom du monde combattant de la FNACA.

Dépôts de gerbes, honneurs rendus par le porte-drapeau et un représentant de la Gendarmerie Nationale, les Conseillers Municipaux, mais aussi de nombreux responsables d’associations ainsi que le Père curé de la Paroisse. Sonnerie aux Morts et l’hymne national ont permis d’être encore plus unis à ce message du 18 juin 1940.

JC Reynaud