Chalon sur Saône

Olivier Ficco sera présent à la FNAC de Chalon-sur-Saône du 16 au 19 octobre inclus pour présenter ‘Le rêve de Cassandre’, un nouveau roman aussi passionnant qu’étonnant !

Olivier Ficco sera présent à la FNAC de Chalon-sur-Saône du 16 au 19 octobre inclus pour présenter ‘Le rêve de Cassandre’, un nouveau roman aussi passionnant qu’étonnant !

L’interview info-chalon

« D'origine franco-italienne, Olivier Ficco est né en 1975 à Roanne, en France. Après des études d'électrotechnique qui lui permettront d'explorer le monde complexe de l'industrie, il laissera sa curiosité le conduire à Paris où il deviendra ébéniste-restaurateur de meubles et d'objets d'art pour le compte d'un antiquaire renommé. Cette spécialité lui ouvrira les portes d'un autre univers, tourné cette fois sur la transformation des matières plastiques, en devenant chaudronnier plasturgiste pour l'industrie chimique et nucléaire. Les nombreuses activités artistiques, dont l'écriture cultivée en dilettante, maintiendront son esprit curieux de nouvelles sources d'inspirations.
Ce sera en 2016, et de manière presque involontaire, qu'il publiera finalement son premier roman en édition propre, Quand tu es parti. Ce premier livre l'encouragera sur une voie qu'il s'était longtemps interdit de suivre. Safeway paraîtra l'année suivante, en 2017. Son dernier roman, Crocodile Zulu, édité en 2019, est sans doute le plus ambitieux écrit à ce jour. La sortie d'un recueil de trois pièces de théâtre originales est prévue pour la fin d'année 2023, ainsi qu'un polar noir, inspiré de ses récentes pérégrinations en Scandinavie. »*

À quel moment de votre vie avez-vous ressenti le besoin d'écrire et pourquoi ?

Mon amour pour les mots est né très tôt, mais écrire, en tant qu'acte essentiel, prédomine aujourd'hui dans ma vie comme la forme ultime d'art longtemps expérimentée, un acte physique qui matérialise une volonté de coexister socialement.

C'est votre 4e roman, y a-t-il une œuvre qui compte plus que les autres ? Et y a-t-il un fil conducteur entre ces quatre livres ?

Mes quatre ouvrages occupent la première marche du podium. En effet, le premier m'a ouvert les portes de ce métier, une véritable renaissance. Le deuxième correspond le mieux à l'humour qui caractérise ma pensée alambiquée. Le troisième livre a réveillé l'enfant de cinq ans qui sommeillait en moi, et enfin, mon dernier opus, Le Rêve de Cassandre, représente un renouveau. J’aime cette idée de fil conducteur, car il y a, en lui, la musique du hasard, qui, au bout du compte, guide le sens de nos existences.

Qu'est-ce qui vous a inspiré Le Rêve de Cassandre, trois nouvelles rédigées sous forme de dialogue ?

Écrire passe obligatoirement par la parole. Pourquoi ne pas conférer au livre un pouvoir différent de celui que le monde entier lui reconnaît déjà, en décuplant ses facultés intrinsèques ? Le mode du dialogue s'est naturellement imposé à moi. J'aimerais qu'un jour, une âme suffisamment vaillante mette en scène ces trois nouvelles, et que cette parole qui nous caractérise nous unisse de la plus belle des façons, autrement dit, en paix avec amour.

Quels conseils donneriez-vous aux personnes qui souhaitent se lancer dans l'écriture ?

Du pluriel, je choisirais le singulier, car de tous les bons conseils, un seul prime : apprendre à façonner la patience avec rigueur.

Et aux lecteurs afin qu'ils viennent à votre rencontre à partir du 16 octobre à la FNAC de Chalon-sur-Saône ?

Retrouver Chalon-sur-Saône et revenir à la Fnac après une année d'absence me remplit d'une joie féroce, et je sais d’ores et déjà que nombreux sont ceux qui attendent mon retour. Pour les autres qui ne me connaissent pas encore, le destin fait toujours bien les choses et les guidera vers moi pour un beau moment de partage. Sinon, je viendrai à eux avec confiance.

Pour en savoir plus sur ‘Le Rêve de Cassandre’

« Le rêve de Cassandre est un roman regroupant trois histoires singulières et inédites rédigées sous forme de dialogues.  L'une d'entre elles se déroule dans une galerie d’art. Folle de rage, une artiste ordonne que ses œuvres lui soient restituées. Le galeriste sait qu’il n’est pas sensé les posséder. Jusqu’où sera-t’il capable d’aller pour obtenir ce qui ne lui appartient pas ? » Résumé Lauterberger Editeur

Interview SBR - * biographie et visuels transmis par Olivier Ficco pour publication - Crédit Photo : Nicole Fichtner